Le passage amoureux

Le passage amoureux

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Le passage amoureux (Pour un imaginaire de l’incertitude)
Gibus de Soultrait
65 pages, 110×170 mm (format poche)

Après la sortie en 2020 de Le surf change le monde et la bonne surprise d’une réponse enthousiaste et continue du public, Gibus de Soultrait publie cet été Le passage amoureux, un court essai écrit en écho à l’incertitude de notre époque contemporaine. Au titre du surfeur qu’il est, il tire de sa pratique et de son amour de la vague, un exercice de l’incertitude qui vaut sa part d’entendement et d’enchantement, non sans persévérance et audace, surf et pensée obligent.
Dans ces lignes qui glissent et à l’écriture tout à la fois profonde et enjouée, il donne aussi à l’acte d’aimer la résonance du flux que nous sommes et toujours susceptible de nous ouvrir un passage fructueux, amoureux avec l’incertitude.
De soi au monde et vice-versa, ce petit livre nous tranporte dans l’inédit d’un paradigme où le mouvement joue sa chance et la lecture sa part, pourquoi pas, de métamorphose, le propre de tout imagnaire.
Bonne chance, bonne lecture, bon surf.

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Description

(4ème de couverture)

Cet essai s’inscrit dans la foulée de Le Surf change le monde (2020), lui-même le fruit d’un cheminement de pensée initiée par l’écriture de L’entente du mouvement (1995). Pour autant ce petit livre peut tout à fait se lire en soi. Il fait écho à l’incertitude (écologique, climatique, sociétale, événementielle…) de plus en plus prégnante dans laquelle notre modernité nous baigne. Le propos n’est pas d’en décrire de possibles tenants et aboutissants, mais de s’y exercer, à l’exemple de ce que surfer et aimer renvoient comme pratique et entendement de la chose incertaine.
Le pari, par le fait de se sentir mouvoir face au mouvement inhérent à l’incertitude (de la vague, de l’amour, du monde), est ici de (se) frayer un passage dont le choix ne relève plus tant de notre liberté, de notre libre arbitre décidant de Où va-t-on, mais plutôt de cette interrogation première Qu’est-ce qui nous emporte ?, induisant notre mobilité à un (dé)placement, à un agissement à juste titre avec ce qui la compose et ce qu’elle compose. La conduite de la vague dans l’acte de surfer, la conduite de l’amour dans l’acte d’aimer, offrant l’opportunité d’un passage à prendre (ou pas) dans le mouvement toujours incertain de ce qui advient. Une mobilité conduite à rendre tout autant qu’elle prend, dans la formulation de son échange, en cela attentif, bienveillant et initiateur d’une nouvelle alliance.
Il y a de notre part une forme d’enchantement dans la proposition de ce passage amoureux, au titre d’un imaginaire à exercer, à enthousiasmer (individuellement, collectivement) fort de l’incertitude ambiante, celle-ci pouvant tout autant nourrir les travers liberticides et ravageurs de sempiternels ressentiments.
Dans l’impondérable de ce qui nous meut, le passage amoureux a le propre de rendre palpable ce qui nous émeut. Raison de plus d’y veiller comme de s’y exercer, s’y aventurer.

— Gibus de Soultrait

Surfeur, journaliste, acteur associatif, Gibus de Soultrait (né à Biarritz en 1957)
a été co-fondateur de Surf Session magazine (1986) dont il a dirgé la rédaction jusqu’en 2014. Depuis 1992, il s’occupe seul de la version française de Surfer’s Journal, désormais premier magazine de surf au USA et en France, consacré à la culture surf. Il a écrit plusieurs ouvrage sur le surf, dont Le monde du surf (2005) et a collaboré à quelques expositions notoire sur le surf, dont La déferlante surf (Musée d’Aquitaine, Bordeaux, 2019). Depuis plus de 30 ans, il mène une réflexion autour du mouvement, qui lui a valu la reconnaissance du philosophe Gilles Deleuze et la publication de plusieurs essais dont L’entente du mouvement (1995) et Le surf change le monde (2020), ainsi que la réalisation amateur de films dont Les vagues et les amours (2015), Opportunity (2017) (Youtube). Engagé sur la question de l’écologie, il a été co-fondateur de Surfrider Foundation Europe (1990) et co-organisateur de mouvement citoyen Rame pour ta planète (2018-2019).

A propos

Surfer’s Journal offre tous les deux mois une source incontournable de plaisir de lecture et de découvertes. Une revue qu’on conserve et collectionne.

 

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