Savourez le printemps avec Surfer’s Journal et ce numéro 149 (avril-mai) en kiosques. En couverture cette impressionnante photo de Nathan Fletcher qui, quinquagénaire, maintient son goût pour l’envol. Au sommaire.
- Gabriel Medina, triple champion du monde. Portrait d’un surfeur qui s’est construit en rêvant d’être à l’égal des glorieux sportifs de son pays. Et derrière la carapace du compétiteur, la sensibilité d’un homme en transformation.
- Retour dans le passé avec le flamboyant Arnaud de Rosnay, surfeur, photographe, dandy, baron, windsurfeur, aventurier, qui fit les pages de Surfer magazine comme celle de Paris-Match et qui disparut en mer entre la Chine et Taiwan.
- Une virée sur les spots de la République Dominicaine sous l’œil avisé du photographe baroudeur Chris Klopt qui y a élu domicile.
- Photos, la rétrospective 60’s des clichés de Ron Perrot dévoilant l’Australie de l’époque de Midget Farrelly.
- Big surf celui d’une femme, Andrea Moller qui a ouvert la voie de l’égalité à Jaws !
- Big surf encore, honneur à quatre photographes aquatiques français qui ont bravé le froid de l’hiver pour shooter l’action du big surf au ras des l’écume.
- Un peu de cool avec le stylé Michael February qui nous emmène sur les point breaks d’Afrique du Sud
- Un goût d’été avec Robin (Kegel et Falxa), chantres du longboard classique et complices d’un secret spot sur la côte basque en pleine saison de foule estivale.
- L’interview du shapeur Tristan Mausse qui, avec sa marque Acid Fantastic, renoue avec l’histoire et renouvelle les sensations.
- Un numéro aussi qui soutient les Ukrainiens dans leur combat pour la liberté.
- Comme il se doit avec Surfer’s Journal, un numéro humain, voyageur, historique, varié dont nombre de photos valent bien un tableau.
- N’hésitez pas. Surfer’s Journal chez soi, avec soi, c’est l’assurance d’un peu de dépaysement et d’un savoureux plaisir. Précieux à notre époque. Merci de votre fidélité
- Ce numéro est (en couvertures intérieures) aux couleurs de l’Ukraine qui se bat pour son territoire et sa (notre) liberté.