30 ans de Surfer’s Journal France, un numéro 162 à ne pas manquer !
Juillet 1994, nous lançions le premier numéro de Surfer’s Journal France, juste deux ans après que Steve et Debbee Pezman aient créé cette revue qualitative inédite. 30 ans plus tard le concept éditorial de Surfer’s Journal n’a pas changé, mêlant l’histoire, le voyage, l’art, la photographie et des personnalités du surf, dans un cadre esthétique et atemporel. En avance à l’époque, Surfer’s Journal non seulement résiste là où la presse magazine s’effondre face au net et aux réseaux, mais il n’a pris une ride en 
suivant la même ligne rédactionnelle dont cette revue a, seule, la vraie originalité.    

Au sommaire de ce Surfer’s Journal 162, (juin-juillet 2024)
Harry Bryant, le free-surfeur créatif et puissant du moment, en couverture du numéro, et dont la personnalité est révélée sour la plume de NE Kachel
– Autre personnalité forte, Derek Hynd qui a établi l’Index, une liste de cent noms du surf selon ses critères à la fois très avisés et subjectifs, avec aussi comme enjeu le poids de l’impact environnemental de chacun. Un article qui a lui seul vaudrait presque le numéro !
– Détonant aussi l’artiste contemporain Barry McGee, surfeur, un pied dans les galeries et l’autre dans le sable, ici à l’œuvre avec sa collection de photos
– Portrait d’Arnaud Mestelan, à l’affiche avec Robbie Page dans Walkabout, quadra surfeur discret sur la quête de la juste trajectoire, sur la vague comme dans la vie
– En voyage à bord du Scame avec le très joli récit de Janine Ballian, autour d’un couple de marins et d’un enfant devenu un surfeur. Le Scame, le voiler des boat trips pas comme les autres aux Mentawai
– Les photos emblématiques des 80’/90’s de John Bilderback. Des moments forts du North Shore
– Le portfolio du jeune photographe Kirvan Baldassari avec autant d’esthétisme pour saisir l’action que pour révéler la texture océane
Interview de l’ethno-archéologue océanique Hélène Guiot, pour découvrir l’âme du peuple polynésien, au-de là de la seule vague de Teahupo’o –
– Peinture, comment Gustave Coubert (1819 – 1877) passa de la femme à la vague dans ses tableaux
Et plus encore…
 
Un numéro d’une grande et belle intensité rédactionnelle et photograghique qui fête joliment nos 30 ans. Ne le manquez pas.
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