Le Surfer’s Journal 161 est sorti avec en couverture de Kolohe Andino dans les airs, pour fêter le printemps. Cette envoutante photographie est l’œuvre du talentueux Quinn Matthews, qui fait justement le portfolio de ce numéro. Un œil alerte et une créativité d’artiste. Egalement au sommaire de ce numéro: – Une rencontre avec le grand cinéaste surf Kai Neville dont les films marquèrent le surf des années 2000. – Autre décennies, celles des années 1970 sur le North Shore (Hawaii) avec les photos du duo Bernie Baker & Leonard Brady vivant au cœur de la scène des meilleurs. – Retour à aujourd’hui, avec le portrait du jeune Californien Casey Colapinto, dont les cousins sont sur le tour pro, pendant que lui, aussi doué dans les vagues, s’invente un style entre shortboard et longboard, tout shapant ses planches. – Autre art, autre style tout aussi créatif, singulier, fluide, celui de la peintre
Lire la suite →Pas de surf sans culture surf. Au sommaire du Surfer’s Journal 157 (août-septembre), en route vers les kiosques. – La photographie à l’honneur avec Tony Arruza, rencontré chez lui en Floride, et qui fut une des principales signatures 80’s des reportages dans Surfing et dans la presse voyage. Des photos pleines d’exotisme qui font toujours référence. – Pour ce numéro, Sylvain Cazenave a fait spécialement une sélection des images prises lors de l’Eddie 2023 épique, cet hiver à Hawaii. Fidèle de cette compétition depuis le début, Cazenave commente cette journée mémorable, ainsi que Justine Dupont pour qui la participation un moment d’une rare intensité. – Troisième volet photo de ce numéro, le portfolio de la photographe Christa Funk qui n’a pas peur de mettre Pipeline ou Jaws dans son viseur. – Dans ce numéro, découvrez le talent et la personnalité de Josh Tudor, qui a tout du style de son père Joel, mais de quoi aussi en faire le sien. – Moment émouvant,
Lire la suite →Peut-être que cela lui rappelle la période (années 1980) où il était fabricant à Hendaye de dérives de windsurf, où il manipulait les produits, où il plongeait les mains dans la matière. Toujours est-il qu’après plus de 25 ans de carrière professionnelle comme photographe de surf, Bernard Testemale, plus que reconnu dans le métier, passé comme ses collègues, de la subtilité du diaphragme d’ouverture combinée à la qualité des optiques avec la pellicule argentique, à la course au meilleur capteur numérique faisant l’ivresse incessante de la colorométrie pixelisée d’aujourd’hui, hé bien après tant d’expérience photographique, notre sexagénaire a décidé de revenir à l’origine de la photographie avec des prises de vues comme en 1850. La photo au collodion, il n’est pas le premier, ni le seul (voir SJ n°111), mais à tout le moins Bernard Testemale y a mis toute sa passion depuis six ans. Et il s’est donné les moyens
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